Holy f'ing crap !!! Il est temps que je mette à jour ce blog, mais quelle belle nouvelle que ce titre, hein ?!?! 299 VHS de moins dans mon trou !! C'est vraiment magnifique de voir tout ce butin partir d'un coup et ça fait franchement du bien.... Il en reste encore, bien sûr, mais c'est tout un lot de moins. Peut-être vais-je pouvoir prendre une pause de films douteux pour un ménage, hummmm....
Bon, on y va rapidement avec plusieurs visionnements des dernières semaines parce que je n'ai rien d'autre à mentionner de toute façon.
LES PLANQUÉS DU RÉGIMENT (1983, Michel Caputo)
Comédie française boboche où des idiots se planques dans un régiment. Hein, ça c'est du résumé ! On espérait quelques blagues sexys avec la pochette amusante, mais c'est plutôt plat et emmerdant au bout du compte.
LOST IN TRANSLATION (2003, Sofia Coppola)
Eh oui, je l'ai finalement écouté après tout ce temps. Un visionnement plaisant et savoureux, mais on se demande comment ça se fait que ce film ait accroché autant de spectateurs réguliers (i.e. non-cinéphiles). Le film demeure bien populaire où je travaille et la majorité regardant l'oeuvre en question sont des ma tantes douteuses qui n'aimeront sûrement pas. Bizarre, mais si ça peut leur faire découvrir un nouveau genre de cinéma, je ne suis pas contre.
STRIP NUDE FOR YOUR KILLER (1975, Andrea Bianchi)
Giallo extrême où nudité et violence occupe la majeure partie de la durée. C'est toujours plaisant de voir Edwige Fenech avec son joli minois, mais bon, on est loin des grands oeuvres de ce genre. Divertissement extrême qui se laisse regarder sans trop de problème et qui se termine même avec une blague de mauvais goût sur le sexe anal. Eh ben.
CRY OF THE PROSTITUTE (1974, Andrea Bianchi)
On continue dans la lignée du même réalisateur, plus connu pour son film épique de zombie BURIAL GROUND (1981) qu'autre chose, avec un polar mafieux dans lequel Henry Silva s'amuse comme un petit fou. Un scénario semblant à YOJIMBO où notre petit Silva vide deux clans mafieux tout en conservant son air de dur à cuire, sans broncher une seule fois. Des bagarres ici et là, Silva qui se mêlent à tout et qui cogne dur et puis faut pas oublier la présence de Barbara Bouchet. Ça se regarde, mais bof, le temps paraît long.
STRAIGHT ON TILL MORNING (1972, Peter Collinson)
Une petite surprise dans le lot ! Une adolescente cherche à fuir le domicile familiale pour avoir un enfant, mais bien sûr, elle se retrouve dans un tout autre monde qu'elle ne connait aucunement. Malgré sa mocheté et sa naïveté, elle finit par être accueilli chez un homme de son goût qui, évidemment, a de sombres secrets. Ce n'est pas le cas pour nous, découvrant ses secrets dès le départ, montrant l'évolution des deux personnages en parallèle et ce meurtrier n'aime pas ce qui est beau d'où son amour pour la jeune fille..... Tout se complique et donne franchement des frissons dans le dos subtilement, lentement et calmement. Je ne suis pas un fan de la Hammer en particulier, mais celui-ci est loin de leur schéma habituel. Je devrais bien visionner quelques autres films du même bonhomme bientôt alors espérons qu'il a d'autres perles dans sa filmographie.
LA VAMP DU BAHUT (1981, Giuliano Carnimeo)
Bon, hein, une petite comédie sexy italienne et euh, je me demande toujours pourquoi il y a un culte autour de Carmen Russo. On suit une femme au foyer retournant à l'école parce qu'elle s'ennuie et pendant ce temps, elle ne veut pas baiser son pauvre mari, désespéré (Renzo Montagnani) qu'il est malgré ses nombreuses tentatives pour aller lui rendre visite à l'école privée. Carmen Russo........ Taille svelte, gros lolos, cheveux crêpés = Fan ?! Merde, elle a aucun charisme, est plutôt mauvaise et plus dégoûtante que séduisante. J'imagine qu'une pochette d'ETC m'avait marqué avec sa photo lubrique qui était déplaisante. Give me Edwige ! D'une façon ou d'une autre, le film est longuet et pas bien comique. Je suis maintenant rendu à 3 films de ce Carnimeo: 2 merdes (RATMAN et LA VAMP DU BAHUT) et un petit bijou (THE CASE OF THE BLOODY IRIS), espérons que la balance va se remettre, il m'en reste plusieurs ici....
WAITING... (2005, Rob McKittrik)
Comédie américaine s'amusant avec l'humour déplacé pendant une journée quotidienne d'un groupe de serveurs dans un restaurant. Humour de bas étage, mais ça atteint la cible à plusieurs reprises, un petit film pour relaxer sans penser. Et Luis Guzman est particulièrement amusant en expliquant avec enthousiasme le jeu des employés: montrer leurs parties génitales de différentes façons pour ainsi traiter l'employé qui va regarder par inadvertance de gay et lui botter le cul. Ce jeu montre le niveau du film fabuleusement...
PURE (2004, Jim Donovan)
Argh !!! JUST SAY NO !!!! Dammit. Une merde pas croyable...... Rien à redire. Jugez vous-même si vous ne me croyez pas.
THE HILLS HAVE EYES (2006, Alexandre Aja)
Un peu décu de celui-là. Aja frappe fort avec HAUTE TENSION et est en fait le candidat idéal pour nous repomper LE VISAGE DE LA PEUR de ce cher Craven, mais ce n'est malheureusement pas totalement réussi. On y trouve de nombreuses bonnes choses (une belle ambiance, un travail sonore intéressant, une belle photo), mais ça dégénère aussi (la musique de TOMANDANDY est bonne, mais devient incroyablement pompeuse dans son dernier tiers, les boo-scares sont en grand nombre et pas vraiment efficaces). On ne sent également pas la furie d'Aja, enfin, pas complètement, mais si on se fie aux dires pour les coupures du film (a very special thanks to the MPAA), peut-être que ça aiderait. Chaque baston a été réduite en nombre de coups pour alléger le tout, on verra bien en DVD.... Alors, un petit film qui se laisse regarder avec des séquences vraiment efficaces et d'autres terriblement emmerdantes. Inégal, donc.
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3 commentaires:
Damn, 299 ? Si j'étais aussi efficace que toi ma copine me donnerait sans doute une médaille !!
Cool to have an idea of the stuff you're watching these days... J'imagine que LES PLANQUÉS DU RÉGIMENT n'aura donc pas droit au traitement DVD-R ? Ahahahah !!
LES PLANQUÉS sont faits vu que la VHS est vendue.... Mais bon, disons que je ne m'en fait pas de copie, tu gardes la tienne ! hehe.
Au fait, le CRY OF THE PROSTITUTE avec Henry Silva, tu le veux (il est en double bill avec SCALPS de Mattei en EP) ?!?! J'ai pas encore écouté le 2e, mais après ça part et je ne sais pas si tu as ce film....
Et pour le 299, ça fait un bail que je le prépare.... Et d'ailleurs, ma soeurette m'a demandé des cassettes ! Oh yeah ! D'autres quittent le nid poussièreux !
Damn, moi personne ne me demande de cassettes :-( No thanks pour CRY OF A PROSTITUTE, je l'ai déjà en VHS poussiéreuse quelque part...
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