On puise dans les voûtes du Cinéclub Film Society (voir ici) pour débuter la journée avec de rares projections de projets particuliers.
LE POULAILLER DES TEMPS PERDUS (1977) de Stéphane Dupuis & Franco Battista.
Court métrage extrêmement rare duquel il n'existe que trois copies en 16mm, on est conquis rapidement et on s'amuse avec cette parodie des films de série B à la finale des plus rigolotes, mettant en vedette une poule radioactive géante ! De l'animation image par image fabuleusement accomplie et un amour palpable de ce genre de cinéma se fait ressentir à chaque plan. Dommage qu'il soit si difficile à dénicher.
LE RENNE BLANC (1952) d'Erik Blomberg.
On enchaine les copies rares avec ce film suédois hors du commun où on mélange le mythe du lycanthrope et celui du vampire pour nous présenter une créature formidable: une femme se transformant en renne blanc meurtrier. Le tout sonne plus que particulier, même moche sur papier, mais l'ambiance apportée par les lieux de tournage hivernaux et les images magnifiques achèvent de nous combler. La trame sonore et le charisme de la dame en question, Mirjami Kuosmanen, font également partie des éléments savoureux. Une belle découverte que ce conte duquel j'ignorais complètement l'existence et je ne crois pas être le seul.
ORPHAN (2009) de Jaume Collet-Serra.
Les enfants méchants font un retour sur le grand écran, un sous-genre savoureux lorsque c'est bien foutu. Je n'attendais rien de celui-ci, sauf peut-être le pire, mais finalement, on se retrouve avec un film terriblement efficace dans ses moments de tension, ambiance malsaine à l'appui. Quelques failles ici et là, mais rien de bien majeur qui viendrait ruiner le plaisir de découvrir les plans diaboliques de cette nouvelle venue dans la famille. Les interprètes sont également de qualité, réussissant à faire passer quelques dialogues parfois risibles, tout en formant une troupe fort attachante. Une surprise divertissante.
LE RENNE BLANC (1952) d'Erik Blomberg.
On enchaine les copies rares avec ce film suédois hors du commun où on mélange le mythe du lycanthrope et celui du vampire pour nous présenter une créature formidable: une femme se transformant en renne blanc meurtrier. Le tout sonne plus que particulier, même moche sur papier, mais l'ambiance apportée par les lieux de tournage hivernaux et les images magnifiques achèvent de nous combler. La trame sonore et le charisme de la dame en question, Mirjami Kuosmanen, font également partie des éléments savoureux. Une belle découverte que ce conte duquel j'ignorais complètement l'existence et je ne crois pas être le seul.
ORPHAN (2009) de Jaume Collet-Serra.
Les enfants méchants font un retour sur le grand écran, un sous-genre savoureux lorsque c'est bien foutu. Je n'attendais rien de celui-ci, sauf peut-être le pire, mais finalement, on se retrouve avec un film terriblement efficace dans ses moments de tension, ambiance malsaine à l'appui. Quelques failles ici et là, mais rien de bien majeur qui viendrait ruiner le plaisir de découvrir les plans diaboliques de cette nouvelle venue dans la famille. Les interprètes sont également de qualité, réussissant à faire passer quelques dialogues parfois risibles, tout en formant une troupe fort attachante. Une surprise divertissante.
Prochaine fois: CRIME OR PUNISHMENT ?!? et NIGHTMARE DETECTIVE 2.
2 commentaires:
Par arapport au Poulailler des Temps perdus, depuis 2009, est-il plus facile de le voir?
À ce que je sache: pas vraiment. Malheureusement.
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